Moi je me dis, que je tiens toi comme la prunelle de mes yeux.
Et que je ne puis profiter de toi comme je le voudrais.
J’en ai marre que la vie nous sépare.
J’an ai marre de ses nuits de brouillard ou tout est noir.
J’en ai mare de ne pas te voir.
J’en ai marre de ne pas pouvoir m’endormir dans le creux de tes bras.
Puis-je trouvée la force de tout quitter, tout laisser pour m’en aller avec toi vers d’autres cieux.
Tu fais tant pour moi.
Tu veux mon bonheur.
Ton amour je le pleure, j’en meure, de ne pas pouvoir te tenir dans mes bras tout les soir. dans mon lit je prie pour pouvoir y croire à notre histoire.
J’ai tant à te donner, à partager.
J’aimerais pour l’éternité, te donner ce que j’ose espérer.
Car tu connais ma vie, se qui m’affaiblie, ce qui m’étourdie ce qui nous maudit.