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coeurs en lambeaux
04/05/2005 22:02
Cœurs en lambeaux
Mon cœur brisé s’est assis un jour, accablé, regardant alors, Autour de lui ce vide immense, que ne comble aucun de ses efforts, Il n’y perçut que le néant d’une caverne sombre et sans fin, Au sein de laquelle ne gravitent que les échos de mon chagrin.
Mon cœur est solitaire depuis tant de nuits et tant de jours Qu’il ne sait plus vraiment à quoi ressemble l’amour… Il plonge alors lentement dans les méandres du désespoir, Impuissant face à cette solitude impitoyable et sans fard.
J’ai beau cherché en mon néant la plus petite trace d’une ombre, Signe de l’arrivée d’une étincelle d’espoir au cœur de ma pénombre, Mais je n’y perçois que mon cœur obsolète qui déjà s’agenouille, S’offrant à la lame du bourreau qui achèverait ses larmes qui le souillent.
Je sombre un peu plus chaque jour dans ce gouffre glacé et écœurant, Cette prison sans nom qui étouffe un à un ces désirs d’un autre temps Et transforme mon cœur en un désert aride où tout n’est que poussière, Où les cendres amères recouvrent peu à peu ce pâle tombeau et m’enterrent.
Quand bien même trouverais-je, Oh miracle, un infime bout d’espérance, Sur le chemin indigeste d’une solitude m’étreignant sans complaisance, Mes forces affaiblies attraperont-elles la vague soulevée par ce vent nouveau, Ou engloutiront-elles au fond de l’abîme les derniers restes de rêves en lambeaux ?
Je ne suis que la pauvre esclave de ce vide intérieur où je me meurs en silence Où je suis enchaînée à mes peurs de toujours, sans l’ombre d’une délivrance, J’erre dans la froide étreinte de cette nuit noire qu’aucune étoile ne vient éclairer Je cherche cette main qui pourrait m’aider mais je ne trouve qu’un drap glacé.
Mon cœur ne ressent plus aujourd’hui que ces sons larmoyants et plaintifs, D’une guitare en pleurs qui emporte aux plus intenses de ses riffes, Les décombres agonisant d’un amour qui ne trouve point sa rime, Chuchotant du bout des lèvres la mélodie d’un trop long solo de déprime.
Mais il est trop tard, cette triste musique ne parviendra plus à me sauver Mon cœur est condamné à demeurer seul et enchaîné pour toute l’éternité Il part à la dérive au milieu de cet océan parsemé de tous ces rêves déçus Il flotte désormais au gré des courants, attendant la mort et son ange déchu.
Commentaire de vivi (27/05/2005 21:23) :
bah di dc, celui là il est long!
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comment..
05/05/2005 22:17
Je ne savais pas quoi te dire alors on m'a dit de te dire:
Ik weet niet hoe je zeggen dat ik van je houd (néerlandais)
Mais tu n'as pas compris alors je t'ai dit
ich weiß nicht, wie dich nur ich liebe Dich zu sagen (allemand)
Mais tu n'as pas compris non plus, j'ai continué
Não sei como dizê-lo que de o gosto (portugais)
Mais tu ne savais pas ce que je voulais
ET sans démoralisé j'ai ajouté
No sé cómo decirte que te quiero (espagnol)
Non so come dirlo soltanto ti amo (italien)
Et la sans aller plus loin tu as enfin compris ce que je disais
Et tu ma dit moi aussi je ne sais pas te dire comment je t'aime!
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lonely
05/05/2005 22:25
"Lonely
I'm mister lonely
I have nobody
phone my own
I'mmmm so lonely
I'm mister lonely
I have nobody
Phone my own
Lonely"
et c'est vrai.......
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Femmes
15/05/2005 20:18
Un petit garçon demande à sa mère : Pourquoi pleures-tu ?
Parce que je suis une femme, Lui répond-elle. Je ne comprends pas, dit-il.
Sa mère l'étreint et lui dit: - Et jamais tu ne réussiras à comprendre...
Plus tard le petit garçon demanda à son père: Pourquoi maman pleure-t-elle? - Je ne comprends pas! Toutes les femmes pleurent sans raison. Ce fut tout ce que son père put lui dire.
Devenu adulte, il demanda à Dieu : - Seigneur, pourquoi les femmes pleurent-elles aussi facilement ?
Et Dieu répondit : Quand j'ai fait la femme, elle devait être spéciale. J'ai fait ses épaules assez fortes pour porter le poids du monde; et assez douces pour être confortables. Je lui ai donné la force de donner la vie, celle d'accepter le rejet qui vient souvent des enfants. Je lui ai donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne. Celle de prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue. Je lui ai donné la sensibilité pour aimer ses enfants d'un amour inconditionnel, meme quand ces derniers l'ont blessée durement. Je lui ai donné la force de supporter son mari dans ses défauts et de demeurer a ses côtés sans faiblir. Et finalement je lui ai donné des larmes à verser quand elle en ressent le besoin.
Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux. La beauté d'une femme réside dans ses yeux. C'est la porte d'entrée de son coeur - la place ou l'amour réside. Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur.
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