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pr toi mon amour
04/05/2005 21:45
oh mon bel amour tu éveilles toutes mes nuits
oh mon bel amour tu me donnes des ailes quand tu me souris
oh mon bel amour tu me fais vivre ma plus belle histoire d'amour
oh mon bel amour ma douceur, mon ange on se ressemble que rien ne change
oh mon bel amour ton corps m'ensorcelle éblouit mes yeux
oh mon bel amour ta peau si charnelle dans mon coeur tu mets le feu
oh mon bel amour tu es ma raison de vivre mon coeur qui bat
oh mon bel amour ma joie de vivre auprès de toi
oh mon bel amour tu es mon bonheur tu es mon soleil
Je t'aime pour la vie
Commentaire de vivi (27/05/2005 21:22) :
tu tadresse a ki la?????
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je n'y crois plus
04/05/2005 21:54
Moi je me dis, que je tiens toi comme la prunelle de mes yeux. Et que je ne puis profiter de toi comme je le voudrais.
J’en ai marre que la vie nous sépare. J’an ai marre de ses nuits de brouillard ou tout est noir. J’en ai mare de ne pas te voir. J’en ai marre de ne pas pouvoir m’endormir dans le creux de tes bras.
Puis-je trouvée la force de tout quitter, tout laisser pour m’en aller avec toi vers d’autres cieux.
Tu fais tant pour moi. Tu veux mon bonheur. Ton amour je le pleure, j’en meure, de ne pas pouvoir te tenir dans mes bras tout les soir. dans mon lit je prie pour pouvoir y croire à notre histoire.
J’ai tant à te donner, à partager. J’aimerais pour l’éternité, te donner ce que j’ose espérer.
Car tu connais ma vie, se qui m’affaiblie, ce qui m’étourdie ce qui nous maudit.
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coeurs en lambeaux
04/05/2005 22:02
Cœurs en lambeaux
Mon cœur brisé s’est assis un jour, accablé, regardant alors, Autour de lui ce vide immense, que ne comble aucun de ses efforts, Il n’y perçut que le néant d’une caverne sombre et sans fin, Au sein de laquelle ne gravitent que les échos de mon chagrin.
Mon cœur est solitaire depuis tant de nuits et tant de jours Qu’il ne sait plus vraiment à quoi ressemble l’amour… Il plonge alors lentement dans les méandres du désespoir, Impuissant face à cette solitude impitoyable et sans fard.
J’ai beau cherché en mon néant la plus petite trace d’une ombre, Signe de l’arrivée d’une étincelle d’espoir au cœur de ma pénombre, Mais je n’y perçois que mon cœur obsolète qui déjà s’agenouille, S’offrant à la lame du bourreau qui achèverait ses larmes qui le souillent.
Je sombre un peu plus chaque jour dans ce gouffre glacé et écœurant, Cette prison sans nom qui étouffe un à un ces désirs d’un autre temps Et transforme mon cœur en un désert aride où tout n’est que poussière, Où les cendres amères recouvrent peu à peu ce pâle tombeau et m’enterrent.
Quand bien même trouverais-je, Oh miracle, un infime bout d’espérance, Sur le chemin indigeste d’une solitude m’étreignant sans complaisance, Mes forces affaiblies attraperont-elles la vague soulevée par ce vent nouveau, Ou engloutiront-elles au fond de l’abîme les derniers restes de rêves en lambeaux ?
Je ne suis que la pauvre esclave de ce vide intérieur où je me meurs en silence Où je suis enchaînée à mes peurs de toujours, sans l’ombre d’une délivrance, J’erre dans la froide étreinte de cette nuit noire qu’aucune étoile ne vient éclairer Je cherche cette main qui pourrait m’aider mais je ne trouve qu’un drap glacé.
Mon cœur ne ressent plus aujourd’hui que ces sons larmoyants et plaintifs, D’une guitare en pleurs qui emporte aux plus intenses de ses riffes, Les décombres agonisant d’un amour qui ne trouve point sa rime, Chuchotant du bout des lèvres la mélodie d’un trop long solo de déprime.
Mais il est trop tard, cette triste musique ne parviendra plus à me sauver Mon cœur est condamné à demeurer seul et enchaîné pour toute l’éternité Il part à la dérive au milieu de cet océan parsemé de tous ces rêves déçus Il flotte désormais au gré des courants, attendant la mort et son ange déchu.
Commentaire de vivi (27/05/2005 21:23) :
bah di dc, celui là il est long!
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comment..
05/05/2005 22:17
Je ne savais pas quoi te dire alors on m'a dit de te dire:
Ik weet niet hoe je zeggen dat ik van je houd (néerlandais)
Mais tu n'as pas compris alors je t'ai dit
ich weiß nicht, wie dich nur ich liebe Dich zu sagen (allemand)
Mais tu n'as pas compris non plus, j'ai continué
Não sei como dizê-lo que de o gosto (portugais)
Mais tu ne savais pas ce que je voulais
ET sans démoralisé j'ai ajouté
No sé cómo decirte que te quiero (espagnol)
Non so come dirlo soltanto ti amo (italien)
Et la sans aller plus loin tu as enfin compris ce que je disais
Et tu ma dit moi aussi je ne sais pas te dire comment je t'aime!
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